destination madagascar

Destination Madagascar, cette page est destinée a donner de idée à nos internaute ce qu'ils attendent une fois à Madagascar.

TOURISME

Le tourisme est une activité de voyager d’un pays à l’autre des raisons de loisirs, de vacances, de culturelle ou cultuelle, de visite d’affaires. Il est récemment devenu l’une des principales industries mondiales, avec des millions de personnes qui voyagent chaque année à travers le quatre coins du monde pour explorer de nouvelles cultures, de nouveaux sites et se détendre. Le tourisme est récent mais important pour de nombreuses raisons. Tout d’abord, il apporte des avantages au niveau économiques.

Les touristes dépensent ses fortunes en logement, en nourriture, en souvenirs et en activités, ce qui stimule l’économie locale. Le tourisme peut également créer de nouveaux emplois pour la population hôtes dans les industries connexes, telles que l’hôtellerie, la restauration et les activités touristiques. En outre, le tourisme peut contribuer à préserver le patrimoine local. Les sites touristiques populaires, tels que les monuments historiques, les musées et les festivals culturels, attirent des voyageurs du monde entier, ce qui peut contribuer à la préservation de ces sites. Les revenus générés par le tourisme peuvent également être utilisés pour restaurer et protéger les sites historiques. Si le Tourisme est pratiqué de manière responsable et durable, il peut être bénéfique pour l’environnement. Les destinations touristiques peuvent être protégées et préservées si elles sont gérées de manière responsable et durable. La mise en pratique de l’ écotourisme, telle que la promotion du tourisme responsable, peuvent aider à minimiser l’impact environnemental du tourisme. Cependant, le tourisme peut également avoir des impacts négatifs. Le tourisme de masse peut entraîner une surcharge de certains sites touristiques, ce qui peut entraîner une détérioration de ces sites en question. Les visiteurs peuvent également perturber les habitats naturels et les communautés locales, en particulier s’ils ne respectent pas les normes culturelles et environnementales locales.

En outre, le tourisme peut entraîner une inflation et une gentrification des quartiers locaux. Les habitants peuvent être exclus de leur propre ville ou de leur propre culture en raison de l’augmentation des prix de l’immobilier et des coûts de la vie, ce qui peut entraîner une perte de diversité culturelle et sociale. Il est donc important de pratiquer un tourisme alternatif : responsable et durable. Les voyageurs peuvent prendre des mesures pour minimiser leur impact environnemental et culturel, telles que la réduction des déchets, l’achat de produits locaux. Les destinations touristiques peuvent également mettre en place des mesures pour promouvoir le tourisme durable, telles que des campagnes de sensibilisation à l’environnement, des programmes de conservation et des pratiques écotouristiques. En somme, le tourisme peut être bénéfique pour l’économie, la culture et l’environnement, à condition qu’il est pratiqué de manière responsable et durable. Les voyageurs et les destinations touristiques peuvent travailler ensemble pour minimiser l’impact négatif du tourisme et maximiser les avantages économiques et culturels pour tous.

LE TOURISME DANS LES PAYS PAUVRES

1er caractère
Tourisme de confrontation parce que les touristes ce sont des visiteurs des pays riches, grande distance géographique et aussi distance psychologique. Cela entraine une confrontation difficile.

Exemple des ennuis intestinaux des voyageurs parce que le repas est trop épicé et bizarre dans un autre pays. Les voyageurs gémissent des excès de climat, la peur de paludisme, cholera. Donc avant de venir, ils se vaccinent, ils amènent avec eux des produits et des matériels de protection.
Ils se plaignent des réactions mal polie des autochtones.
En un mot, le tourisme à une réaction traumatisante d’une part et d’autre.

2ème caractère
Dans les pays pauvres, on distingue le village club et le rêve tropicale. Le touriste est en quête d’une image de tropique ; plages, sable blanc, un atoll corallien aux eaux turquoise.
Mais à côté de la pauvreté, l’instabilité politique n’entre pas dans son imagination.
Le type de tourisme produit en espaces particulières, le village est en clos et gardé. Le village s’organise autour de la piscine et des aires de loisirs.
Cette espace nécessite un équipement lourd, adduction d’eau et d’électricité, puis un réseau routier.

3ème caractère
Le tourisme de découverte peut être individuel ou organisé et qui cherche le contact d’autre culture et milieux. Souvent itinérant il suppose un circuit dans les pays à découvrir. Il mette en avant le spectaculaire et le pittoresque. Ce tourisme est friand de ruralité et d’authenticité souvent folklorique et s’intéresse peu au pays réel et modernes.

LES FABRIQUANT DES PRODUITS VOYAGES

A- Définition

A.1 les voyagistes ou tour opérateur.

Pour désigner les fabricants des produits de voyage, on utilise indifféremment les termes de voyagistes organisateurs de voyage et de tour opérateur.
Ils fabriquent des produits touristiques : ce sont des produits de voyage à forfait. Ils commercialisent ces voyages pour l’intermédiaire des agences de voyage ou de leur propre réseau de distribution.
Dans les pays d’accueil, ils disposent de leur propre bureau réceptif et conclure des contrats avec de sous-traitants.
Les voyagistes ou tour-opérateurs sont des personnes physiques ou normales qui conçoivent, fabriquent et organisent des voyages ou séjour individuel ou collectifs vendus soit à l’agence de voyage installés à Madagascar ou à l’étranger soit directement à la clientèle.
Le réceptif : toute personne morale ou physiques prestataires des services touristiques en qualité d’intermédiaire locale qui assure l’organisation sur place des produits vendus par les voyagistes.

A.2 les entreprises spécialisées.

Séjour balnéaire : détente sur la plage, au sable blanc, sous le soleil, mer, …
Village club : différentes activités pour distraction et loisirs souvent gardé, …
Ce sont des entreprises qui fabriquent et organisent leur propre produit touristique avec ou sans équipement spécifique touristiques sous forme de prestation précises et bien déterminer. Elles ne recouvrent pas l’organisation ni de voyage, ni de séjour de voyageurs. Elles vendent leurs produits aux voyagistes ou directement à la clientèle.
Ex : la descente de Tsiribihina, descente sur le canal des Pangalanes de Mananjary à Mahanoro.

A.3 les entreprises de location touristique.

Ce sont des entreprises de location de voiture, bateau de plaisance, ou autre engin à moteur.
Les activités concernant seulement la location sous l’organisation ni de circuit, ni de séjour de voyageur.

A.4 les entreprises d’animation touristique.

Elles offrent des activités d’animation sous forme de location de matériel et équipement de jeu ou de sport. Elles sont souvent situées à proximité des établissements d’hébergements touristiques et sont pour clientèles cibles comme les personnes fréquentant ces établissements.
Ex : location de matériels et équipement de plongée, location des vélos ou VTT.
La conception d’un circuit touristique est surtout le travail de tour opérateur et exécuté par l’agent du tourisme.
Prestataire : c’est la personne ou l’organisme ou l’entreprise qui vend de services.
Prestation : vente de services ; voyagiste voyageurs

LES VARIÉTÉS DE PRODUITS DE VOYAGE

1. Les voyages à forfait

Ce sont des voyages organisés selon un programme détaillé comprenant un ensemble de prestation plus ou moins étendues à un prix fixes déterminé d’avance. (Formule de tout compris= transport, hébergement, restauration, visite guidée, animation,)
Le code du tourisme détermine le voyage à forfait comme une combinaison préalable d’au moins 2 opérations (transport et logement) et dépasse 24h ou incluant une nuitée.
Les services à inclure ou non dans un forfait

Les produits globaux et compose d’élément tangibles comme l’animation, le shoping qui peuvent être tarifié et inscrits dans les vouchers.
Les services qui peuvent fournir les prestataires de services sont les suivants :
Pour l’agence : le guidage, billets d’avion intérieurs et taxe, assistance et accueil, les tickets d’entrée les réserves et pures, les matériels de camping et accessoires.
Pour les hôtels : chambre et taxe de séjour, repas diner et déjeuner.

Les services non inclus : cotation ou devis de séjour :

Ce sont les services que le client ne peut pas ou ne veut pas acheter à l’agence. Ceci sera alors payer directement sur place par le client. Dans l’itinéraire on le désigne par le sigle « ON SPOT » ou « PAX ACT ».
Ces services sont : les prix de billets internationaux, le frais de visa, le café ou infusion (du thé) et les besoins parce qu’il est difficile de déterminer le besoin et le goût du client, le pourboire (selon la bonne volonté du client) tout ce qui concerne les dépenses personnels (la blanchisserie et le repassage, cigarette, boite de nuit.

GRANDEUR ET MISÈRES DU TOURISME

I. Espaces et cultures : Le traumatisme touristique

Le tourisme possède un impact important sur les espaces d’accueil mais reste objet de débat. Selon que l’on insiste sur le traumatisme : culturel et environnemental et sur les apports économiques on donne au tourisme un rôle important pour résoudre le problème du sous-développement ou on le dénonce quand un risque majeur.

a. Les territoires bousculés et renouvelés

La concentration touristique produirait de catastrophes écologiques et paysagères. Les littoraux très fragiles par la nature sont défigurés par l’importance de la construction. La fréquentation de la plage et de dunes accentuent l’érosion. L’arrachement des coraux et les excès de la pêche (sous-marine) menace le fond sous-marin. La côte souffre de la pollution.
Le détournement abusif de service et des équipements collectifs (eau et infrastructure), le touriste consomme beaucoup d’eau et le concurrence ainsi produite peuvent mettre en péril l’agriculture surtout dans le milieu aride.
Ex : le touriste représente 0,5% de la population et consomme 0,7% de l’eau en Tunisie.
Déstructuration de territoire et de site d’accueil : migration de la main d’œuvre et crise agricole. Le touriste détruit ce qu’il consomme.
À Madagascar, le trafic de tortue et plante rare : toute fois la législation est de plus en plus rigoureuse.
La recette touristique finance maintes opérations de protection de l’environnement. Elles ont sauvé une partie de la faune Africaine.

1. Traumatisme sociaux culturels : de contacts toujours délicats.

Le tourisme est une transaction commerciale un peu particulière au niveau international car :
• Il met directement en relation, en un même lieu « le producteur » et le « consommateur ».
• À cette occasion, de contact entre individus, mais aussi entre société et entre civilisation divers se produisent et ils ne sont pas sans conséquence pour les uns et les autres.

Dans le tiers monde, les observateurs les plus critiques portent aux passifs du tourisme la dégradation de mœurs.
Ex1 : comportement de visiteur met à mal la valeur locale
Ex2 : religion bafouée dans les pays islamique
Ex3 : les attitudes parasitisme et mendicité sont devenues de maux tourismes, dont les « opportunistes » en font la vérité.

En termes de pays d’accueil, risque l’acculturation, conséquence : de réaction de rejet sont parfois très vive à l’exemple de l’attentat anti-touriste en Égypte et même dans les pays développés.
Les visiteurs étrangers sont moins bien acceptés que les ressources financières qu’ils apportent.
D’une part, la devise, le vêtement et accessoires photographique sont gagnés avec courtoisies et mettent en cause la sécurité de touriste (agression,). D’autre par les recettes sont monopolisés car un petit nombre de bénéficié et fréquemment étrange. De forme de tourisme moins consacré entre la main de quelques fines omnipotentes et plus respectueuse des aspirations de populations local, permettent de réduire ces conflits : petite hôtellerie, gites ruraux, aménagement associatifs.

II. Les phénomènes de perversion

A. La perversion mercantile.

La perversion mercantile recouvre en gros la généralisation des échanges monétaire :
• La tarification de la rencontre : la commercialisation de contacts et des civilisations.
Ex : il faut payer 5 dollars par personne pour visiter un village ; il faut payer 3 dollars pour photographier une indienne ; commercialisation de séance de tamtam…ce phénomène se voit même dans le pays développé.
• « La folklorisassions » de cérémonie et de fête traditionnel devenue artificielle : c’est-à-dire on a tendance à moderniser les manifestations traditionnelles et elle devient artificielles et perde authenticité. La folklorisassions artificielle s’exprimera par la résurrection ou la création de fête placé dans le calendrier en haute saison touristique.
• La dégénérescence des métiers d’arts et l’émergence de ce que l’on appelle « l’art d’aéroport. L’artisanat perd sa valeur culturelle pour devenir de biens de simple consommation. Il est sûr qu’une partie des objets proposés vient de la production industrielle ou tout simplement venant d’un autre pays comme le Hong Kong.

B. La perversion morale

• Elle constitue la dégénération de valeur morale et spirituelle de la société. Les touristes font ailleurs ce qu’ils ne font pas chez eux, ou ils exportent avec eux des pratiques ou des habitudes qui sont mal acceptés ou qui portent atteinte aux vertus de la population locale.
• Le trafic de drogues : la drogue douce est acceptée dans la civilisation occidentale, aussi pour eux cette pratique tout à fait naturelle. Si la drogue n’est pas inexistante dans certains pays d’accueil, elle risque par contre d’accroître la prise chez les jeunes. D’autre part, cela engendre le trafic car le « joints » ou les herbes de pays Africain et Asiatique sont jugé meilleur et bon marché.
• Le tourisme sexuel : il est devenu une nouvelle formule de production dans l’activité touristique. Il existe des agences des voyages spécialisés dans ces domaines et les chanteurs de l’amour à destination des îles de pacifique et asiatique. Aux philippines il y a 350 milles prostitués et même plus au Thaïlande. Les demandeurs sont les sadiques, les machos les pédophiles qui espèrent assouvir les fantasmes dans les pays ou les plaisirs de la chaire constituent l’attraction touristique principale.
Sur place, il existe deux maisons plus ou moins secrètes ou des entremetteurs qui assurent la réception, la qualité de produit. Mais par fois les phénomènes et suscité par la population autochtone elle-même ; c’est l’appât du gain facile par la prostitution. Dans certains pays de l’Afrique, la liberté sexuelle fait partie de mœurs. Par ce phénomène le tourisme est devenu automatiquement vecteur d’ordre fléau tel le SIDA.
Il apparait dans ces analyses que le tourisme s’il constitue un atout pour le développement d’un pays, pourrait devenir un fléau. Aussi, il est impératif pour les pays récepteurs une conscientisation tant moral que physique ; pour l’épanouissement de la civilisation de loisir. A l’exemple des pays Islamique ou la valeur religieuse et morale sont tellement ancrées que les visiteurs sont sérieusement sélectionnés et doivent respecter les personnes et leurs lois.

LA DESTINATION POUR MADAGASCAR

Malgré la richesse de Madagascar en faune et flore, patrimoine, cette grande île n’étant pas encore devenu une destination touristique très demandée par la clientèle internationale. Son isolement, sa volonté politique à recevoir un tourisme contrôlé, son niveau d’infrastructure touristique encore insuffisant d’eux. Elle ne repond pas encore au besoin d’une clientèle particulièrement exigeante.

Madagascar offre de motif d’intérêt touristique nombreux et varier ; mais le pays reste méconnu et n’est visité que par quelque milieu de personne chaque année. Soit 375.000 touristes environ par an contre1.410.000 touristes sont arrivés à Maurice.

Cela est dû à la méconnaissance d’une tapage publicitaire sur le marché mondial, sa publicité réside dans le témoignage des personnes qui ont visité de l’île dont la plupart sont revenus car ils ont gagné par la beauté des îles tropicales (Saint Marie, Nosy Be), et par charme et séduction de la nature de Madagascar et les Malagasy.

POTENTIALITÉS

Destination Madagascar
Découvrir Madagascar

L’île est immense, le moyen de transport pas toujours très fiable, l’etat de la route est difficiles. Madagascar ne se visite pas dans chaque qualité en quelques semaines ; sinon, on perdra son temps d’un avion à un autre. Madagascar reste à découvrir.
Madagascar a toujours quelques chose à offrir : la mer, la nature, la montagne, le semi désert du Sud, l’histoire naturel, la géographie, la géologie,….

La surabondance profusion et la singularité de la flore Madagascar

Madagascar un jardin étonnant ou l’on rencontre des variétés de végétaux dont la majeure partie est spécifique à l’île (80%). Un coup d’œil sur la statistique échaufferait le cœur d’un botaniste. Madagascar connait environ 14 000 espèces alors qu’à la grande Bretagne, on a que 1750. Une large proportion et familière même pour le nom botaniste.
Certain spécimen se trouve couramment chez les fleuristes te : le Jasmes avec ce grappe de fleur grasse et suaves (Stepharotis florimbonda ; la queue de chat au long pendentif rouge) (Kalanchoe blossfel diana) et le plus fameux de toute est sans doute le Ponsettia madagascariensis qui est la fleur national parce qu’elle évoque la couleur du drapeau Malgache avec sa feuille verte et qui tourne en rouge les plus éclatant pendant le 6 mois de l’hiver austral. Tout ceci corresponde à une « flore domestiquée ».

Mais sur le chemin des espèces plus insolites s’offrent aux regards. La flore africaine a vrais semblablement une ressemblance avec une seule de Madagascar mais des espèces individualisées sont nettement distinctes.

  • De 300 espèces d’Aloès en Afrique, pas seul n’est identique aux 60 trouvés à Madagascar.
  • Les orchidées, on en trouve une centaine en Afrique Alor qu’il y a environ mille cent espèces à Madagascar. À Sainte Marie on peut voir l’orchidée comète Agreacum sesquipedale à fleur d’un blanc crémeux et ne mesure pas moins de 38 cm de profondeur. Les orchidées se trouvent spécialement dans la forêt humide accroché au tronc ou aux lianes qu’elles parasitent.
  • Au sud-ouest désertique, on a les arbres bouteilles au tronc renflé adaptées au stockage de l’eau et on a aussi le célèbre baobab (7 variétés de baobabs se trouvent à Madagascar. Parmi toutes ces richesses végétales, certains ont une importance économique.
  • La vanille : or noir de Madagascar, sa gousse et les fruits d’une orchidée.
  • Sisal : famille des agaves dont la fibre est utilisée en corderie.
  • Raphia farinera, dont on a fait la rabane.
Une faune originale et archaïque

La majorité des espèces sont propre à île et n’existe nulle part ailleurs. Madagascar a la différence de l’Afrique n’abrite ni singe, ni fauves, ni éléphant mais des spécimens du type primitif.
Contrairement à bien des pays tropicaux pour l’homme à part le crocodile mais qui sont en voie de disparition. Seulement, il existe beaucoup de moustique qui cause des désagréments.

 

Les mammifères

Il existe 5 espèces sur l’île :
• Les primates (lémuriens) ;
Les insectivores (tenrecs)
• Les carnivores (fosa)
• Les chiroptères (les sauves souris)
• Les rongeurs (les rats)

Les lémuriens : ancêtre du singe, les lémuriens en possèdent certains trais mais ne peuvent être pas lui être véritablement comparés. D’aspect varié d’une région à d’autre, ils vivent aussi bien dans la forêt humide de l’Est que dans la savane de l’ouest ou encore les épineux du sud. Deux grandes familles famille se distinguent :
Les espèces diurnes ; facilement repérable et qui vivent en groupe.
Ex : Indri indri c’est le plus beau de lémurien et que l’on retrouve surtout à Perinet.
À Berenty, on trouve le Sifaka (Propithecus verreauxi verreauxi). Il se déplace part bond, le corps blanc, visage noir.
On y trouve Lemur catta, corps grise, queue annelé noir et blanche.
A Nosy be, on a le black lemur
A Ranomafana, il existele golden bambou.

 

Les espèces nocturnes : nombreuses mais difficile à dénicher, il faut beaucoup de patience et de volonté avec une lampe à longue portée, leurs yeux reflètes la lumière. On peut citer : Le micocebus ou mouse lemur sont le plus petit de lémurien, lepilemur, l’Aye Aye à nosy Mangabe (Nord Est). Ils ont des dents de lapin, oreille de sauve souris main de singe, queue de sanglier.

Les tenrecs : considérés par les zoologistes comme le plus prolifiques, la femelle peut donner naissance à 32 jeunes. Le tenrec est chassé et mangé par les Malagasy.
Les sauves souris : 43 espèces sont présents sur l’île, les plus visible sont les fruits bâts, les flying fosces et les roussettes.
Les fosa : c’est le seul félin existant dans le pays qui peut atteindre 1m40, oreilles pointus, yeux glauques. Le plus commun est le Galidia elegans et l’espèce nocturne s’appelle Fossa fossana ou Fanaloka.

 

Les Amphibiens et les reptiles

On a 144 espèces de batraciens, 257 espèces de reptiles.

  1. Caméléon : les caméléons sont très rependus, changement de coloration selon le milieu. Ils sont dotés d’un œil qui pivote à 360° et d’une langue très longue et mobile qui est une arme sans pitié pour les petites invertébrées. Le plus grand s’appelle Caméléon parsoni.
  2. Le serpent : aucun de 60 espèces n’est venimeux, le plus connu est le « Do » ou « Boa constructor ». Malgré leur innocence, les serpents sont craints par la population. Leurs existences sont entourées de mystères et mythes.
  • Les Fandrefiala sont réputés par les capacités de tuer un Zébu en se jetant d’un arbre.
  • Le kapilangidro = le sanzinia dont le nom est tiré du fait que ce serpent en s’en roulent sur lui-même forme une jatte (vase arrondi), ou les lémuriens s’abreuve.
  1. Le papillon : on a 3 000 espèces de papillons diurne et nocturne dont 233 sont endémique. Le plus spectaculaire est le papillon comète (plus grand papillon de Madagascar avec un cocon d’argent. Exemple de papillon nocturne ; l’uranie ou Chrysiridea Madagascariensis.
  2. Les oiseaux : 266 espèces dont 117 sont endémiques, parmi les oiseaux endémiques, on peut citer : les Vanga, les Louas, les Astys, les Railovy, les Turtles dove, les Rolles, les Paille en queue.
  • Les plus courant sont les Fody : ce sont les passereaux (petite oiseaux bruns gris, le plumage tourne rouge pendant la saison de l’amour.
  • Oiseaux aquatiques : Martin pêcheur, canard sauvage, Poule d’eau, hérons.
  • Oiseaux de proies : Papango (emblème d’Air Madagascar), aigle de mer (Haliactuo vociferoïde).
  • Les gibiers : Pintade, Fanihy.
  • Le monde sous-marin : On remarque une richesse incroyable des eaux de Madagascar, de la diversité des espèces qu’on y rencontre. La mer la plus riche et la plus intéressante est celle qui est en face de l’Afrique (Canal de Mozambique) qui a de caractéristique de mer tropical.
  • Parmi les poissons le plus coloré du récif corallien on trouve : les panancathus, les poissons demoiselles, les mérous multicolores.
  • Nombreux sont aussi les bancs de poissons pélagique ; les barracudas, les carangues, les marlins, les thons, les gros espadons, baleines à bosses (mammifère marin) visible à Sainte Marie entre juillet septembre, pendant leurs passages à Madagascar.

LES MALGACHES

Une population simple mais accueillante.

Madagascar est un « casse-tête » ethnologique, un puzzle complexe d’origine et de source mêlé. Le mystère du peuplement de la grande île est encore aujourd’hui une des plus belles énigmes de Madagascar. Si l’héritage d’une descendance venue de lointaine Asie du Sud-Est et indéniable ; le mystère de l’origine demeure l’étude du pays, de ces habitants, de leurs coutumes, de leurs techniques mettent en évidence une double origine Africaine et indonésienne.
Cette double influence transparait dont le trait socioculturel et la technique indentifiable sur l’île.
Mais dans l’ensemble, c’est la mixité qui caractérise les individus de 18 tributs de l’île : le malgache met donc ni Africaine, ni Asiatique mais seulement Malgache avant tout.

  • Dans ces nombreuses tribus, on constate de caractéristique commune.
  • Le culte des ancêtres, la chasse, la pèche, la forme de maison surtout sur le haut plateau.
  • L’importance du bœuf comme signe de richesse, la poterie, la circoncision.
  • Au pays de sourire et de sécurité : l’usage de la politesse et du respect sont dans l’âme du Malgache. C’est la tradition du Fihavanana qui est plus cher que la richesse : « Aleo very Tsikalakalambola toy izay very tsikalakalampihavanana ».

La règle du respect s’adresse non seulement entre le Malgache mais aussi envers les étrangers. Ici, les étrangers sont accueillis non pas avec des armes mais avec un sourire « du miel », avec la politesse. Les Malgaches aiment partager leurs repas, idées, savoir.

Sécurité

Sauf peut-être dans la capitale ou dans la grande ville où l’on craint le vol et les agressions divers ; les visiteurs se sentent en sécurité dans les pays. Avec ou sans guide, on peut prendre le taxi-brousse, visiter des réserves de localité en sécurité. On dit que Madagascar est un de rare pays ou une femme pourrait voyager toute seule. La population est toujours prête à vous donner un coup de main en cas de difficulté, vous soigner ou vous soulagez par les plantes médicinales en cas de maladie ou de la brulure.
Certes, presque toutes les régions surtout en brousse ne sont pas pourvues de pharmacie ou d’hôpital mais on est sûr de se procurer le petit médicament utile dans les épiceries de la brousse, au même titre que les bougies, les boissons alcoolisées en bouteille ou des fabrications artisanales. Lors de la marche à pieds ou trekking dans la région de Zafimaniry, la population autochtone offre l’hospitalité et vous prépare le repas moyennement de somme modique .

Les croyances et les coutumes

Les Malagasy sont natives de Madagascar. Leur culture est influencée par leurs traditions de leurs pays d’origine tels que : africaines, asiatiques et européens.
Les croyances traditionnelles malgaches sont basées sur l’animisme, qui considère que tout ce est dans la nature possède une âme. Les ancêtres occupent une place importante dans la vie des Malgaches, et leur culte est très répandu dans toute l’île. Les Malgaches croient que les ancêtres continuent de veiller sur leur famille et peuvent apporter de la chance ou du malheur selon leur humeur.

a-      Zanahary – le Créateur

Les malgaches croient à un Dieu unique : Zanahary (celui qui a créé) à l’origine de l’univers, de la nature, et des hommes. Cet état des faits facilita de tâche de missionnaire de chrétien pour convaincre la population locale que ce terme désigne aussi le Dieu de chrétien baptisé « Andriamanitra » c’est-à-dire le seigneur parfumé. La conception de la résurrection n’est pas aussi loin de leurs vénérations ancêtre.

Actuellement, si le christianisme est considéré comme la religion la plus courante à Madagascar que le nombre de pratiquant ne présente qu’environ 45% de la population repartît à peu près également entre catholique et protestant. Christianisme et croyance ancestrale font souvent bobinage.
Les relations Dieu-homme sont régit par l’intermédiaire des âmes de ces ancêtres qui contrôlent la condition des descendants aux règles de la tradition. Ils sont garants de l’ordre sur terre. Les âmes des ancêtres peuvent apporter leur bénédiction mais aussi punir. Ainsi les ancêtres en d’énormes pouvoirs envers le vivant.

Ex :

  • La vente de propriété est interdite.
  • Les calamités (grand malheur) sont interprétées comme la manifestation de la colère de RAZANA et on doit sacrifier des zébus pour apaiser leur colère.

D’autre esprit dans la nature qu’il soit bien ou malfaisants permettent, la communication avec Zanahary.
Ex : Lolo qui hôte les eaux et les forêts, Pakafo confondu avec le vazaha. Il s’ensuit que l’île est couverte de pierre sacré, d’arbre et lac ou des rochers sacrés.

b-      Les interdits

Accès sur le respect d’un ordre naturel très établi, la religion traditionnelle Malgache rythme le quotidien par contact permanant de vivant avec un mort.
L’obéissance avec la volonté des ancêtres ont entrainés des interdits.
Le comportement des individus est régit par des usages.
Chaque région ou même chaque clan a son propre code de conduite. Violer un usage entraine un déshonneur et enfreindre un interdit implique un châtiment.

c-     Le culte des morts

L’opinion de mort, leur désir, leur volonté dominent la vie aussi bien spirituelle qu’au matériel. Et qui de matérialisent par des tombeaux dominant les paysages ; on dit que le définit a tourné le dos au vivant.
L’importance et la variété de tombeaux sont en rapport avec le rôle primo joué par rite funéraire, ils sont variés selon les tributs.

  • En Imerina : le tombeau est sculpté maçonnerie de cube orné de colonne.
  • Chez les Betsileos : ce sont des caveaux sous terrain surmonté des pierres plates.
  • Pour les Mahafaly : ce sont les parallélépipèdes ornés de crane des zébus.
  • Antanosy : pyramide sculptée
  • Chez les Betsimisaraka : ce sont de tronc d’arbre en forme de pirogue.

 Les funérailles suivent un rite selon les groupes ethnique.

  • Sur les hautes terres : le mort est rasé, lavé, vêtu de ce plus beau habilles envelopper de linceul de soie puis il est placé dans le coin des ancêtres dans la maison. Le transport de la dépouille jusqu’au tombeau est précédé par un passage au temple pour le crétient, puis la mise en terre est précédé d’un « Kabary » par le « Zokiolona »

REPAS MALAGASY

Dans le pays du sud :
Note : cuisine Malagasy

Il existe 2 plats traditionnels savoureux peu connus par les étrangers grâce à l’utilisation d’épices et légumes typique du pays.
Les régimes alimentaires est presque invariable : le plat principal est à la base du riz (80% de Malagasy consomme du riz) qui accompagne tous les plats. On en mange 3 fois par jours. Principe : manger beaucoup, une forte dose du riz. Les tubercules (manioc, pomme de terre, patate,…) et le maïs constituent le plat principal de gens du Sud.
Le repas ne comporte qu’un seul plat, cela ne veut pas dire qu’il est frugal. En effet, sur le riz viennent s’amonceler (réunir en tas) toute sorte de mets accompagnement :

  • Le « ro » à base de légume et de brède. Le « ro mazava » est considéré comme le plat national, il se prépare avec de brède et de morceaux de viande longuement mijotés.
  • La viande : qui est présenté dans la majorité des plats. L’immense cheptel bovin permet une consommation importante de viande rouge de qualité.

Parfois le poisson remplace la viande surtout dans la région côtière : Marlin espadon thon,… et crustacés (langouste de Nosy be, Fort dauphin et le crabe).

  • Le reste : Achard de tomate, achard de légume, le piment omniprésent (pilé ou séché, mariner accompagner souvent des gingembres, ail, tsiferofero). La mode de cuisson n’est pas très recherchée, le repas sont cuits généralement en même temps sur un feu de bois ou de charbon.

Sur la côte-ouest et est, le goût sont relevés par l’emploi de noix ou plats à base de vanille font la renommée de la région de Sambava.

            Certains plats sont cuisinés avec délicatesse et des plats royaux étaient consacré aux nobles du temps de royauté : « le varanga » (lamelle de filet de zébu, « les sesika » (viande farcie d’ail, de l’arde cuit à feu doux pendant 12h…

  • La boisson traditionnelle est « Ranonampango», jus de riz brulé souvent bu pendant le repas.

Les boissons hygiéniques sont très abordables et de bonne qualité en saison le jus de fruit est facile à trouver.
« THB » : est une bière blonde brassée (masserez) et renommée mondiale.
La boisson alcoolisée ; le vin : Madagascar produit de vin de qualité sur le territoire de Fianarantsoa et même le champagne est produit localement.
La boisson spécifique : Betsabetsa, alcool de fermentation produit artisanalement sur la côte Est « toaka gasy » (Rhum malagasy distillé à partir de canne à sucre produit localement clandestinement). Le punch au coco, boisson de bienvenu à Saint Marie, « trembo » eau de coco fermenté dans le Nord.

 

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